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49 S’ENGAGER Le 28 mars 2024, Joël, chargé d’indemnisation, Syrine, gestionnaire SARVI, Odile et Laura chargées de développement RH, ont participé au forum des Carrières juridiques. Une quarantaine de visiteurs ont découvert les opportunités de carrières au Fonds. Mon métier consiste à recouvrer auprès des auteurs responsables, soit de l’accident de la circulation, soit de l’infraction les indemnités que le Fonds de Garantie des Victimes a versées aux victimes. Il faut être diplomate car nous avons en ligne des auteurs d’infractions, parfois graves. La diversité des tâches me plaît. Notre rôle ne consiste pas seulement à appeler les auteurs pour leur demander de payer. Nous faisons aussi des investigations et des réquisitions. Au sein du Fonds, j’ai le sentiment de participer à une mission de service public, d’être utile à la société et aux victimes. Ce qui différencie le Fonds d’autres entreprises, c’est sa taille humaine. On se connaît tous.• PAROLES DE collaborateurs PAULINE, gestionnaire recours amiable J’accueille les demandes d’aide au recouvrement des victimes et je vérifie que les conditions d’intervention du SARVI sont réunies. Le Sarvi procède alors au versement d’une avance et nous accompagnons la victime tout au long du processus de recouvrement de sa créance. Il faut savoir faire preuve d’humanité car, si la matière travaillée est juridique, c’est avant tout l’histoire d’une victime, d’une trajectoire, d’un vécu et d’un traumatisme. Cela implique aussi de faire preuve de bienveillance, de compréhension, de patience et de pédagogie pour traduire le jargon juridico-administratif de ces procédures. Ce qui me motive le plus, c’est le sens que cela a pour moi, pour les victimes et pour la société car la notion de solidarité nationale et de justice est essentielle. On ne parle pas d’argent, on parle de réparation ! J’aime par ailleurs l’esprit altruiste qui règne au Fonds. • ARTHUR, juriste au SARVI J’ai rejoint le Fonds en 2013. Le service dont je fais partie est dédié à la prise en charge de victimes qui demeurent gravement handicapées. Je m’occupe de la victime dès l’instruction de sa demande jusqu’à son indemnisation. S’il y a un volet juridique, mon rôle est avant tout d’être sur le terrain lors des expertises médicales et au domicile de la victime. Cela me permet de mieux apprécier ses besoins et de trouver des solutions, de participer à la construction du projet de vie, voire de libérer des provisions utiles pendant la convalescence de la personne. Les qualités requises sont l’écoute et l’empathie. J’apprécie la polyvalence de mon métier et d’avoir le temps nécessaire pour bien accompagner les victimes. J’ai un sentiment d’utilité en participant au projet de reconstruction de la victime. • ANNE-TYPHAINE, inspecteur au service PCL Le Fonds a accueilli dans ses locaux une vingtaine d’étudiants pour un atelier « Réussir son entretien d’embauche » dans le cadre de son partenariat avec NQT afin de les aider dans leur recherche d’emploi.

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